Prise en charge des troubles cognitifs

Elle aide les enfants, les adolescents et les adultes à avoir une autonomie maximale dans leurs activités journalière, scolaire ou professionnelle. Mise en place le plus tôt possible, personnalisée et régulière elle contribue au confort de vie.

La prise en charge cognitive consiste à rééduquer, lorsque c’est possible les fonctions cognitives qui sont fragiles, à entretenir celles qui sont opérationnelle.

  • Améliorer les fonctions non efficientes
  • Stimuler les fonctions efficientes
  • Apprendre à faire autrement en contournant la difficulté

Plusieurs professionnels peuvent être nécessaires (neuropsychologue, orthophoniste, ergothérapeute et psychomotricien).

Moyens de compensation des troubles cognitifs

Mise en place d’une auxiliaire de vie (AESH) pour accompagner l’enfant et faciliter les apprentissages scolaires.

Chez l’enfant comme chez l’adulte, l’accompagnement d’une aide humaine au quotidien peut permettre de compenser les difficultés cognitives. Des aides techniques pour réaliser certains gestes.

Orientation scolaire

Choisir l’orientation scolaire la meilleure pour l’enfant. De préférence dans une école ordinaire, et c’est le cas de la majorité d’entre eux. L’école de proximité a beaucoup d’avantages pour les garçons eux-mêmes et leurs pairs. Mais parfois, l’éducation en classe spécialisée est nécessaire.

Orientation au travail

L’adaptation du poste de travail. Réfléchir à une manière de travailler plus adaptée à ses capacités : organiser autrement ses tâches, son temps de travail, son lieu de travail voire le milieu dans lequel on l’exerce (ordinaire, adapté, protégé)

Prise en charge psychologique

Elle peut être proposée non seulement à l’enfant, à l’adulte ou à l’entourage, lorsque la maladie leur fait vivre des difficultés, mais aussi, lorsque les symptômes cognitifs le nécessitent

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